Le drame faite contre les immigrants.
Thème : Le drame faite aux immigrants le cas du Maroc.
Introduction:
Nous déplorons, face à ce terrible traitement aux droits humains. J’écris cet article avec beaucoup d’émotion, car la façon dont on traite les migrantes subsahariennes de façon amorale. Aucun respect vis à vis de leur dignité, de leur personne et de leur vie.
En effet, le drame de Mélilla qui s’est passée, Vendredi le 24 juin 2022. Plus de 23 migrants sont morts parmi 2000 personnes. En plus, plus 200 personnes ont été blessés. par les bandages et les indices d’exactions au hasard qui ont provoqué la mort, de la part des autorités marocaines; par contre les immigrants même ont démenti cela qu’ils avaient plus de 70 migrants qui sont morts, car ils étaient abattus, par les autorités marocaines il y’a eu plus des blesser des naufragés et tas des personnes sont en détention pour le moment. Par ce que, ils sont tentés de passer par l’enclave Espagnole par la frontière commune avec le Maroc.
En plus, des cadavres et de blessés de migrants subsahariens et Soudanais exclu à terre sans aucun secours sur place, sous les yeux des autorités qui ne font rien pour les secourir. Les associations Marocaines des droits humains ont-ils réagir ?
Ce acte violente commis par les autorités marocaines contre les migrants est inadmissible.
Il existe une multitude de définition sur les notions d’migration :
Ainsi, l'immigration désigne l'entrée, dans un pays ou une aire géographique donnée, de personnes étrangères qui y viennent pour un long séjour ou pour s'y installer. Le mot immigration vient du latin in-migrer qui signifie « rentrer dans un lieu ». Elle correspond, vue du côté du pays de départ, à l'émigration.
L’immigration c’est le fait de s’installer dans un nouveau pays ; l’émigration c’est le fait de partir de son pays d’origine. En plus un immigré est une personne qui vit de manière durable et stable dans un pays dans lequel il n’est pas né. Enfin, l’étranger est une personne qui ne possède ni la nationalité, ni le droit sociaux du pays dans lequel il se trouve et qui reste souvent pour peu de temps.
En plus, historiquement le Sahara occidental.
Une partie du territoire marocains qui était colonisée par l’Espagne que l’on appelle également le Sahara occidental.
Le Maroc à réclamer ce territoire lors de son l’indépendance lorsque les espagnoles sont parties. Mais malheureusement les peuples autochtones de ce territoire ont refusé de faire partie du Maroc et ces gens-là qu’on appelle les Saharaouies . Et ce territoire était en conflit contre l’Espagne en demandant leur indépendance ils sont créés Front Polisario.
Rappelons que leur président Brahim Ghali président de la République arabe Sahraouie démocratique.
Il à fait un voyage en Espagne pour se faire soigner. on lui a accusé le viol, torture contre les Marocains. Le Maroc étaient en colère pourquoi l’Espagne a accepté cette personne fugitif chez eux.
Le Maroc était clair dans des ces propos en disant que les Espagnoles en subiront les conséquences. Et quelques semaines après ils ont laisser de surveiller les frontières entre Maroc et l'Espagne. Plus 1000 migrants sont rentrés en Espagne c’était une façon de punir Espagne.
Problématique :
nous chercherons à savoir la question qui mérite d'être poser ici est la suivente :
Dans quelles mesures nous pouvons mettre en terme cet acte brutal face aux migrants ?
Justement c’est l’état qui doit intervenir pour faire Reiner la justice équitable et efficace pour tous.
I- Les causes d’immigration :
II- Le cadres juridique:
Malgré le droit international de droit l’Homme. Et la charte Africaine des Droits de l’homme, la violence continue vis à vis des personnes vulnérables. Comme l’avez-vous vus tous le drame de Melilla.
Ainsi, cet fameux article 4 de la charte Africaine: la personne humaine est inviolable . Tout être humain a droit au respect de sa vie et à l’intégrité physique et morale de sa personne. Nul ne peut être privé arbitrairement de ce droit. Compléter par l’article 5. Par ailleurs, 398 Résolution sur les flux migratoires mixtes, les défis de protection des migrants et l’interdiction de la traite des personnes et de toutes formes de violence en Afrique du Nord et subsaharienne - CADHP/Rés. 398 (LXII) 2018.
Rappelant, les dispositions de l’article 12 de la Charte africaine, qui garantit à tout individu, le droit de circuler librement, de choisir sa résidence et interdit entre autre l’expulsion collective d’étrangers ;
Rappelant, les dispositions de la Convention de l'OUA régissant les aspects propres aux problèmes des réfugiés en Afrique, les dispositions de la Convention de l’Union africaine sur la protection et l’assistance aux personnes déplacées en Afrique (convention de Kampala) et les autres instruments internationaux sur la protection des migrants ;
Rappelant, l’article 3(h) de l’Acte Constitutif de l’Union Africaine qui consacre la promotion et la protection des droits de l’homme et des peuples conformément à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (charte africaine) et aux autres instruments pertinents relatifs aux droits de l’homme; et l’article 5 de la Charte africaine qui condamne toutes formes d'exploitation et d'avilissement de l'homme notamment l'esclavage, la traite des personnes, la torture physique ou morale, et les peines ou les traitements cruels inhumains ou dégradants sont interdites ;
Les droits d’immigration et ces causes :
La Commission Condamne le trafic humain et la vente des migrants, ainsi que les violences policières lors des opérations d’expulsion des migrants,
Appelle les Etats parties à considérer les migrants comme un potentiel économique et non comme un facteur d’insécurité et de s’inscrire dans le cadre d’une gouvernance efficace des migrations ;
Appelle les Etats parties et l’Union Africaine à prendre les mesures adéquates pour garantir la protection des migrants;
En mutualisant les efforts de coordination afin de prévenir la traite humaine, le travail forcé et l’exploitation sexuelle.
En plus, la justice marocaine a décidé de poursuivre 65 migrants, en majorité des Soudanais, pour avoir participé à la tentative de passage en force meurtrière vendredi, a-t-on appris lundi auprès d'un avocat de la défense. Puis nous avons aussi, 36 migrants sont poursuivis pour << entrée illégale sur le sol marocain>>, << violence contre agents de la force publique >>, attroupement armé, et « refus d’obtempérer ». La prochaine audience est prévue le 12 juillet à Nador, ville du nord du Maroc limitrophe de l’enclave espagnole.
Par conséquent, ceux qui sont blessés ne sait ni où aller pour leur soignés. Alors que la politique migratoire au Maroc joue une très grande rôle importante à cet point, mais nous regrettons, car aucune réaction de leur part et l’association marocaine des droits l’homme . C’est pourquoi l’article 1 de la déclaration universelle des droits de l’homme stipule que: tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.
Ils ont doués de raison et de conscience et doivent agir les un envers les autres dans un esprit de fraternité.
C’est à dire quelqu’en soit immigrés ou pas ces droits doit être applicable à tous. Ceci est complété par l’article 2 déclare que chacun se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamées dans la présence déclaration, sans distinction aucune , notamment de race de couleur, de sexe , de langue de religion, d’opinion politique, ou de tout autre opinions, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de fortune de naissance ou de toute autre situation.
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